Page 30 - Un grand principe humain
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Un grand principe humain 28




— Vous l’avez remont́e? se rebiffa l’autre.



— Ben oui, je l’ai fait, dit McGovern. Alors 

ne vous emp̂chez pas d’aller au lit, Matthews. 


Madame Cassidy et moi, on va continuer ̀ 

papoter... Oh l̀, il n’a pas l’air content...



C’est que monsieur Matthews s’́tait 


d́p̂ch́ de sortir du logement. Il rencontra 

madame Boyle sur le palier.



—Tiens, je ne pensais pas vous voir ici... 

Vous vous sentiez de trop?



—Comment ̧a, me sentir de trop? s’indi- 


gna l’homme. Que j’en voie un seul qui essaie 

de me faire sentir de trop...



— Ah, bon, excusez-moi. Et votre nouveau 

chambreur, il se sent ̀ la maison?



— Oh que oui, il se sent foutrement bien ̀ 


la maison, fit Matthews sur un ton boudeur. 

Mais dites voir, Madame Boyle, boiriez-vous 


un petit verre chez Farley’s en ma compagnie?


— Un petit verre? Et pourquoi pas?



Ce qu’ils firent. Ils prirent place dans 


l’arrìre-salle et monsieur Matthews se mit ̀ 

presser le bouton ́lectrique jusqu’̀ ce que la 


rage se d́charge un brin.


— S’il se sent ̀ la maison? C’est plut̂t son 


ĉt́ effać, faussement timide qui m’exasp̀re,















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