Page 27 - Un grand principe humain
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Un grand principe humain 25




—Non, je ne crains rien. Et j’ai d’autres 


dessins que je peux accrocher dans ma 

chambre.



Matthews ́coutait et se raidissait, ses l̀vres 

remuant sous l’effet de quelques lamentations. 


«Mon opinion ne compte pas», se disait-il 


peut-̂tre.


—Et si ̧a ne vous d́range pas, madame 


Cassidy, je pense que l̀ ò sont plaćes les 


chaises et la table, ̧a vous gruge de l’espace. 

Ce serait mieux de l’autre ĉt́ de la pìce... 


qu’en pensez-vous?


— Oui, bien ŝr, Monsieur McGovern, 


ŕpondit la veuve avec douceur, tout en jetant 


un coup d’œil soucieux ̀ son autre chambreur 

qui paraissait d́priḿ. Pourriez-vous vous 


d́placer un peu, Monsieur Matthews?



Et monsieur Matthews de se lever sans 

trop savoir ò se placer, chaque chaise lui 


́chappant sous l’emprise de McGovern qui 

ŕarrangeait la cuisine.



—Assoyez-vous donc, Matthews, faites 


comme chez vous... Ah, mais j’y pense, ne 

prenez pas cette chaise, je crois qu’elle irait 


mieux ici.


—Vous avez l’œil, Monsieur McGovern! 


dit la veuve impressionńe.















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