Les premiers témoignages voulant que des objets volants non identifiés aient sillonné le ciel remontent certainement aux temps bibliques. Qu’était réellement ce chariot de feu d’Ézéchiel? s’est demandé Charles Fort en compilant des centaines de notes dans ce rayon. Certes, le nombre de signalements d’ovnis a augmenté au tournant de la Deuxième Guerre mondiale, mais l’amalgame commode ne devrait pas occulter le fait des multiples descriptions d’objets célestes (parfois par des foules) livrées bien avant que des avions aient conquis notre espace aérien.
Au Québec, les témoignages se sont multipliés. On pourra lire cet article dans le Journal de Montréal du 30 janvier 2018 et titré : «Forte hausse présumée du nombre d’apparitions d’ovnis au Québec, selon un organisme». Cet organisme, c’est l’AQU, l’Association québécoise d’ufologie. Qui veut douter non seulement le peut, mais le doit; le doute est sain à toute réflexion le moindrement objective. J’inviterais les lecteurs intéressés par le sujet à lire Nouvelles terres, de Charles Fort.
Pour compléter cette brève incursion dans le questionnement autour des visiteurs du ciel, je vous invite à lire cet autre article : «Le Pentagone reconnaît l’existence d’un programme d’étude des ovnis». Plus on assemble les morceaux, plus on comprend que la Chine ait récemment construit le plus grand radiotélescope du monde, avec l’espoir de prendre contact avec une intelligence extérieure… Même si Stephen Hawking nous a mis en garde contre nos désirs de se raccrocher à plus grand.
Si d’aventure quelqu’un parmi vous a lu le livre Enlevés par les extraterrestres, du docteur John E. Mack (un psychiatre américain et professeur à Harvard qui a étudié 100 cas étranges de kidnapping de l’espace), n’hésitez pas à laisser votre commentaire ici.